Batman contre Robespierre fait partie de ce que l’on appelle le répertoire de l’absurde. A ce titre, en parler est compliqué puisque tout se joue sur le comique de situation, et plus encore sur son interprétation. On y suit les tribulations de Jean-Claude Barbès, un brave citoyen modèle avec un « bon job », une « sympathique épouse » et un « fils normal », qui, par une série de hasards malencontreux partant du rachat de sa société par une autre grosse société causant la suppression de son emploi, va finir par se retrouver seul en caleçon dans la rue à une vitesse presque vertigineuse. Lire la suite