En allant voir Anna Karenine au théâtre, je dois avouer que je ne connaissais absolument rien du roman, étant peu attirée par les pavés romans fleuves russes en général et par Tolstoï en particulier (et pour prévenir toute critique : j’ai essayé avant de renoncer). J’étais en revanche enthousiaste à l’idée de pouvoir découvrir l’histoire de cette femme que je devinais tourmentée par les affres du choix amoureux sans avoir à parcourir 900 pages en très petits caractères. J’avais aperçu mais sans y prêter attention que cette adaptation libre s’inspirait également de Maupassant. Et cee croisement des influences est une belle idée. Lire la suite