Archive | juillet, 2023

L’empereur des boulevards

27 Juil

Les pièces de Georges Feydeau ont connu plus d’un siècle un succès jamais démenti grâce à leur rythme et à leurs dialogues qui font mouche. Mais derrière le Dindon, la Dame de chez Maxim ou On purge bébé, l’on sait finalement peu de choses sur cet auteur extrêmement prolifique. La Compagnie Les Joyeux de la Couronne a souhaité faire découvrir l’homme à son public d’aujourd’hui avec ce portrait de l’empereur des boulevards.

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La p’tite débrouille

21 Juil

Lorsque j’ai vu que Franck Le Hen avait créé un nouveau spectacle, je me suis dit que cela pourrait être divertissant. J’avais en effet apprécié Les favoris, Derniers baisers et Bonjour Ivresse et sa capacité à créer des pièces de boulevard contemporaines rythmées et qui permettent de se détendre sans complexes.

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Vie, survie et renaissance d’une garde-robe

16 Juil

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été attachée à ma « garde-robe », qui, à certaines époques n’était que jupes à fleurs et robes à smoques quant à d’autres seuls les pantalons et les chemises très amples ascendant croisé bûcheron – open space des années 1980 y étaient autorisés.

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Sugar Baby

8 Juil

La Compagnie Les Deux Hiboux a été fondée en 2018 et aime à traiter de sujets qui ne sont pas de toute légèreté. Après avoir questionné la démocratie et l’écologie, la sexualité, la pédopornographie, ils ont choisi avec Sugar Baby, comme l’indique explicitement le titre, de traiter de la prostitution des jeunes étudiantes. Si la thématique peut paraître abrupte, la pièce veille à faire réfléchir sans faire frémir et à laisser la place à la légèreté. Une comédie au thème dramatique en quelque sorte. 

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Une démarcheuse démarchée

4 Juil

Fabiola avait rêvé sa vie autrement que comme « travailleuse du clic », comme elle savait qu’elle était comptabilisée dans les statistiques et perçue hors des statistiques. Mais à plus de cinquante ans, sa formation et son expérience de brodeuse ne lui étaient hélas d’aucune utilité. Elle avait eu la chance de vivre très longtemps de ce métier tout en le sachant en voie de disparition. Mais la disparition de son couple lui avait coûté son poste. Elle travaillait en effet dans le même atelier de rénovation de fauteuils que son ex-conjoint, et lorsque leur fille avait quitté le foyer, elle avait décidé d’en faire autant, ne supportant plus ni son caractère casanier ni sa jalousie (elle n’avait jamais compris les gens qui lui disaient que c’était une preuve d’amour, pour elle cet adage n’était que fadaises et ceux qui l’avaient inventé n’avaient probablement jamais reçu des appels intempestifs et vécu des interrogatoires à chaque fois qu’ils sortaient faire une course ou boire un verre). Cela lui avait coûté son poste, à la fois parce qu’elle ne voulait vraiment plus le croiser et parce qu’il avait tout fait pour lui savonner la planche auprès de sa direction.

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