Archive | avril, 2020

Lettre aux mâles de bonne volonté

26 Avr

 

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Chers mâles de bonne volonté,

J’aurais-je préféré écrire directement « chers hommes de bonne volonté » pour vous nommer car le terme d’homme est sans contexte plus doux et positif. J’ai voulu en employant cet autre terme que vous sachiez sans équivoque que je m’adressais bien à vous, humains de genre masculin soucieux d’agir au mieux dans votre existence, car l’on parle trop peu souvent de vous, alors même que l’on devrait s’intéresser à ceux que vous êtes, heureusement très nombreux, à contribuer, avec le concours des femmes de bonne volonté, à rendre ce monde plus joli. J’ai envie d’oser penser que vous êtes largement majoritaires, cependant ne disposant pas de statistiques officielles, je n’oserais m’aventurer sur ce terrain qui pourrait certainement susciter la polémique, tant sur les critères de recensement que sur la fiabilité des chiffres avancés. Je me contente donc de souligner que vous n’êtes pas des robinsons perdus sur une île de mâles mal lunés, mais que vous êtes bien présents et souvent pas assez visibles hélas, supplantés en termes de médiatisation par les susnommés. Lire la suite

Tomber, cicatriser, rebondir

9 Avr

Ballon sauteur (2)

 

J’ai plusieurs fois hésité avant d’écrire ce billet. J’ai commencé deux fois déjà, avant de faire disparaître les quelques premiers mots ou premières phrases qui me venaient dans les arcanes de la corbeille numérique de mon ordinateur. Et puis, comme dit l’adage, jamais deux sans trois, et je crois que j’ai ce besoin d’écrire vissé au fond des tripes, et qu’il ne me quittera pas tant que je n’aurais pas mis en mots ce que je ressens en ce moment. Voilà, il y a trois semaines, j’ai perdu mon emploi. Pour la troisième fois en trois ans. Vous noterez l’omniprésence du chiffre trois dans cette introduction. Trois expériences et contextes différents mais qui laissent place à une montagne de doutes et de questionnements de la hauteur de l’Aconcagua. Lire la suite

Rien plus rien au monde

6 Avr

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Il est étrange de parler de sorties théâtrales en ces temps de confinement. Certes, les captations ne manquent pas, et l’on peut saluer toutes les salles et toutes les compagnies qui nous permettent de découvrir leur travail depuis nos écrans, mais il ne saurait bien sûr être question pour un temps indéterminé, mais allant sans doute bien au-delà de la période de strict confinement de re-fréquenter les salles et d’éprouver cette émotion si particulière face aux comédien.nes « en chair et en os ». Pour ma part, ma dernière pièce « en réel » aura donc été ce Rien plus rien au monde. Le titre sonne presque comme une annonce de ce qui allait suivre quelques jours plus tard au final. Et dans un sens, l’histoire aussi. Lire la suite

amenaviguante

La douceur et la force du thé, le piquant du chocolat au piment, la passion des mots

Broute le gazon

mais souris pas ! t'en as sur les dents !

cylklique

Des images... et des mots

rienaredire

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Chroniques erratiques d'une emmerdeuse

Wandering City et tout le reste

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Étale Ta Culture !

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