J’ai eu cette semaine l’heureuse surprise de figurer sur la liste de la sympathique Léopoldine pour les Infinity Dreams Blog Awards. Ce nom a certes une consonance un peu grandiloquente et prétentieuse, mais il s’agit uniquement d’une initiative visant à inciter des blogueurs ou personnes sympathiques et talentueuses écrivant sur des sites ludiques de sites de qualité à titre non professionnel à en dire plus sur eux, et à mettre en lumière d’autres personnes que l’on aime lire régulièrement, pour différentes raisons. Je remercie donc la reine des escapades pour avoir fait passer cette chaîne fraternellement scripturale qui n’est assortie d’aucune menace de mort si elle ne circule pas, ni promesse de bonheur éternel si elle se transmet bien.
Concrètement, pour toutes les personnes qui aiment bien comprendre de façon structurée, il s’agit donc de suivre les étapes suivantes :
- Resituer l’article dans son cadre, ce que je viens de faire
- Répondre aux 11 questions posées par celui ou celle vous ayant nominée et rajouter 11 informations sur soi, partie éminemment narcissique et complexe lorsque l’on veut trouver 11 points susceptibles d’intéresser un minimum ceux qui les liront
- Proposer à son tour à des blogueurs ou web-écrivains amateurs que l’on aime bien de se livrer à ce jeu de questions réponses en leur soumettant 11 questions ludiques et bienveillantes
- Remercier les lecteurs de flatter mon égo en faisant comme si ma petite personne les intéressait.
1/ Quel est votre petit plaisir coupable ?
Les sucreries. Surtout celles avec du chocolat dedans mais pas que.
2/ Où vous voyez-vous dans 10 ans ?
A Paris, en Ecosse, au Canada, toujours salariée ou indépendante, il peut se passer tellement de choses en dix ans…. Enfin peu importe où je suis tant que j’ai près du cœur des gens que j’aime.
3/ Quel votre premier bon souvenir au théâtre ?
Le premier remonte donc au collège, pour une représentation du « songe d’une nuit d’été » à la cartoucherie de Vincennes. La pièce se jouait sous un chapiteau dans ce bout de campagne à 10 minutes de Paris, et les acteurs étaient en hauteur, jouant sur des filets de sécurité. Ça avait un côté fascinant, surtout que je n’étais encore jamais rentrée sous un chapiteau.