Nous avons tous ou presque lu le bourgeois gentilhomme à l’époque du collège et retenu le ridicule de monsieur Jourdain et de ses tentatives pour paraître un homme du monde afin de jouer les séducteurs en prose sa « belle marquise », dont les « beaux yeux [le] font mourir d’amour ». Mais il est vrai aussi que, les années passant, l’on a oublié tout l’humour de cette magnifique œuvre de Molière, de ses leçons de danse, de musique et d’armes à sa détermination à marier sa fille à un gentilhomme plutôt qu’à Cléonte, l’élu de son cœur, entre autres frasques d’aspirant érudit diplômé ès ridicule. Lire la suite